Des dorures, des signes religieux, de grosses fleurs et des nuances de vert, bleu et jaune citron. L’île de Capri représente à la fois le clinquant et la nature à l’état pur. D’un côté, les hôtels, bars et boutiques de luxe, de l’autre, la diversité incroyable de fleurs et plantes méditerranéennes, les falaises vertigineuses et la vue sur les îles Faraglioni, qui abritent une espèce rare de lézard bleu. En route !
On a débarqué à Marina Grande, le port principal de Capri. Beaucoup de touristes ont pris le bus pour monter mais le mieux est de grimper à pied la colline.
Le chemin est bordé de petites maisons avec des plaques aux dessins raffinés à l’entrée (mais parfois accompagnés d’un message dissuasif !).
Voici la tour de l’horloge de la Piazza Umberto I, la place la plus connue, entourée de cafés chics.
L’église baroque de Santo Stefano représente bien le style de Capri je trouve, avec ses dorures et ses grosses fleurs blanches.
Les jardins d’Auguste, créés par l’empereur, avec vue sur les îles Faraglioni…
Direction le monastère de San Giacomo aux magnifiques fresques.
On est ensuite allés vers le village d’Anacapri, beaucoup moins tape-à-l’œil que Capri. La Casa rossa (« Maison rose »), qui renferme une collection de tableaux, était fermée quand on est passés…
Visiter cette petite église, la Chiesa di San Michele, c’est tout une expérience ! C’est interdit de marcher sur le sol, car il est entièrement recouvert d’une faïence italienne de la Renaissance, la majolique. Du coup s’est donc baladés sur les planches en bois disposées tout autour. Et pour voir l’œuvre dans son ensemble, on a monté les marches d’un escalier en colimaçon hyper étroit.
Fin de la visite avec les jardins de la Villa San Michele. C’est l’ancienne résidence d’un médecin suédois, Axel Munthe, construite sur les ruines d’une villa romaine.
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